Descartes et le guérisseur blessé

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Le présent texte est nécessaire pour comprendre la posture de l’intervenant qui donne de l’information au patient qui :
– doit Lutter victorieusement contre virus & bactéries
– veut Gagner la guerre contre les cellules malignes

Un témoignage qui apporte quelqu’éclairage sur le champ de la Seconde Médecine et sa remarquable autonomie.

15 février 2022
« Salut Gars, il faut que je te parle d’Aldrinn qui a un cancer avec des métastases. »
« Tu sais que tu viens de prononcer le « gros mot » que je n’aime pas. »
« Je sais, tu préfères parler de cellules malignes ! »
« Eh oui ! Parce qu’une cellule maligne a quatre ennemis 1. Elle même, puisqu’elle peut se suicider – le nom savant est « apoptose » 2. Les plantes tueuses de cellules malignes. 3. Les globules blancs tueurs de cellules malignes. 4. etc.

Après un moment de conversation :
« Je rédige un topo pour Aldrinn, tu voudras lui faire passer ? »

« O.K. Merci ! »
« De rien … »

P.S. : Le « topo » pour Aldrinn est constitué du présent article et de 20 pages « Je lutte contre les cellules malignes » avec les références vers les travaux de recherche académique les plus avancés (notre Bibliographie pour une Seconde médecine comporte plusieurs centaines de références de travaux académiques américains, chinois, indiens, etc.)

To be or not to be « Cartésien »

Depuis 1999, les jeunes lisent les aventures de Descartes-Le-Médecin sous la plume d’Annie Bitbol-Hespériès.

Les adultes lisent les mêmes aventures sous la plume de Vincent Aucante – image ci-avant.

Enfin … quelques adultes …

… qui découvrent que Descartes a pensé la Première médecine, celle des pilules fabriquées par l’humain.

Descartes est né en 1596.
Il a anticipé le fait que, quatre siècle plus tard, il n’existerait que 150 médicaments vraiment utiles.

Il a anticipé le compte fait par l’OMS : les thérapeutes du monde utilisent 12 mille plantes différentes !!!

Descartes a pensé l’Autre médecine, celle des plantes et autres médicaments de la nature – minéraux, phages, etc..

Aldrinn + sa maladie + le guérisseur blessé + les thérapies de la nature

C’est l’équation que nous allons explorer.
En effet, l’espace de la Seconde médecine – le savant dit « paradigme » ou « épistémè » – cet espace se pense de manière autonome, indépendante.

Incurable

Le Professeur H. a-t-il lu Descartes ?
En tout cas, en 2007, il me dit :
« Votre maladie est totalement inconnue de la Première médecine.
Nous n’avons pas de thérapie à vous proposer.
Mais vous trouverez une thérapie.
« 

Triple affirmation qui me laisse pensif.
Puis je conclue que le Professeur H. a de l’intuition.
Il m’a vu arriver dans son service avec ma niaque habituelle.
N.B. : Gnaque = mordant en occitan.
Là où les autres patients affectés du même type de maladie sont au bord du suicide, il m’a vu dialoguer avec lui sur le mode : « Bon ! On va trouver un truc …« 
Et effectivement j’ai trouvé le truc.
D’abord j’ai donné un nom à ma maladie inconnue : « Syndrome de Nessos »
Puis j’ai aidé « tous » mes systèmes vitaux – cellules, système immunitaire, système inflammatoire, etc.
Alors, progressivement, les symptômes du Syndrome de Nessos ont disparu.

La douleur, un truc étonnant

L’élément majeur du syndrome de Nessos est une douleur intense et permanente.
Nous allons voir plus loin la polythérapie anti-cellules malignes = la liste des plantes, minéraux, etc. qui permettent de se débarrasser des cellules envahissantes.
Cette même liste m’a permis de me débarrasser totalement de la douleur.
Ce que j’appelle « totalement » c’est ne plus avoir besoin de paracétamol ni autre antalgique – opiacés, etc.
Normalement la douleur est un signal nécessaire à informer le cerveau qu’il faut « faire quelque chose ».
Mais il existe une sorte de fausse douleur qui peut être intense et qui n’informe de rien si ce n’est que l’organisme est en carence.
La polythérapie élimine ces carences donc cette fausse douleur – qui faisait vraiment mal !

« On va vous découper le visage : tout ira bien ! »

En 2010, sur mon répondeur, message du dermatologue-expert que j’ai consulté l’avant-veille :
« Vos deux trous dans le visage … ce sont des tumeurs.« 
« Voici les coordonnées du chirurgien qui va vous enlever ça.« 
Là encore le dermatologue-expert a eu de l’intuition :
– que je savais la nature des deux trous – d’où l’annonce sur le répondeur
– que je me positionnais en battant face à la nouvelle – il me donne l’adresse du chirurgien mais je ne suis pas sûr qu’il me voit comme un client au démontage de mon visage.
Et, effectivement, en 7 mois j’ai tué les cellules malignes.
Plus exactement :
– la nigelle a tué des cellules malignes,
– la vitamine D a « alimenté » le processus de nettoyage
– le système immunitaire a été boosté et a tué des cellules malignes,
– le système inflammatoire a été apaisé,
– l’apoptose – suicide – des cellules malignes a été redémarrée.

En 7 mois la totalité des tumeurs a été éliminée + le système d’élimination des futures cellules malignes s’est remis en route.
Depuis 12 ans, mon visage est intacte.

On choisit pas …

Tout au long de ma vie, la Première médecine a été hors jeu.
Soit elle m’a dit : « On ne peut rien pour vous !« 
Soit j’ai été gravement affecté par ses « médicaments ».

Je n’ai donc pas choisi de recourir à la Seconde médecine.

C’était ça ou je crevais comme un chien dans un bidonville.

La nature a tout prévu !

La Nature manque fondamentalement de modestie.

La Nature a tout prévu !
Tout prévu pour :

  • tuer les cellules malignes ; plusieurs plantes – artemisia annua est la plus célèbre.
  • améliorer la respiration des cellules : ubiquinol Q10
  • diminuer le stress oxydatif
  • améliorer l’équilibre acido-basique – sels de métaux
  • modérer le système inflammatoire
  • booster le système immunitaire
  • favoriser l’apoptose – suicide – des cellules malignes – jeûne
  • stimuler les cellules souche – jeûne
  • équilibrer les systèmes sympathique et para sympathique – encens
  • favoriser la lutte contre l’envahisseur – écorce de chêne

C’est ainsi que – pour rétablir ou maintenir la santé – le corps et le cerveau ont un besoin quotidien de :

  • oméga 3, poissons gras
  • graines bénéfiques : petit épeautre, sarrasin, riz, quinoa, amarante
  • ail, oignon, épices et aromates – curcuma, gingembre
  • oléagineux : noix, noisettes, amandes, sésame, gomasio, chia, huile d’olive 
  • choux, brocolis, topinambour
  • thé vert
  • tomate et autres légumes rouges – poivron, etc.
  • mélatonine
  • sels de métaux : sélenium, germanium, magnésium, calcium – algue lithothamne,
  • champignons pour booster le système immunitaire : Mico Five Hifas de terra
  • desmodium, sylimarine, arginine  
  • vitamine B – lactacholine
  • vitamine C – sauf pendant une cure d’artemisia annua
  • vitamine D
  • etc.

Le plus grand nombre est nomme « alicament » = aliment qui entraine la guérison.

Il s’agit bien d’un besoin quotidien de tout cela !!!

Seconde médecine : douce et dure

Il y a deux Seconde médecine.
La Seconde médecine des petits bobos – douce ?

La Seconde médecine des gros bobos qui tuent – complexe !

Douce
Chaque plante, minéral, etc. constitue un des apports nécessaire au « tout » de la vitalité.
Il faut donc impérativement additionner c’est à dire prendre chaque jour entre 40 et 100 alicaments, etc.
Dure
Un exemple
Si l’on tue des cellules malignes avec de l’artemisia annua cela libère de l’acide urique qui provoque des douleurs, cela provoque des hypoglycémies, bref « ça secoue ».
Douce-dure
Un exemple
Si l’on prend chaque jour un dé à coudre d’élixir à 50 plantes – Blachère, etc. – c’est bénéfique pour la santé.
Si l’on abuse de la chose on abime le foie.
Idem pour toutes les huiles essentielles.

Le guérisseur blessé

Dans les cultures anciennes, dans les cultures traditionnelles, quand un humain échappe de près à la mort par maladie ou suite à un accident son cas est considéré par la « tribu ».

Si le cas est intéressant, le miraculé est fermement invité à devenir un guérisseur blessé.

Celui-celle qui a su vaincre la mort doit utiliser son savoir pour sauver des patients.

C’est savoir + savoir-faire + savoir-être.

Fin des années 70, j’ai 4 accidents de la route !

1980-82 je répare pas mal les dégâts avec des thérapeutes en France et aux Etats-Unis.

Devant les résultats étonnants, il m’est dit :
« Tu devrais t’installer comme thérapeute ! »

Les humains actuels ont donc la même réaction que ceux de l’âge de pierre.

Le gars qui s’est sorti du handicap doit en savoir « quelque chose » dont le groupe peut bénéficier.
En 1983, je prends une année sabbatique.
J’ai quelques résultats intéressants avec quelques patients.
Je décris l’aventure du MGCTCP puis des raisons familiales m’amènent à Lyon.

Arrivé à Lyon je me forme à l’hypnose éricksonienne.
C’est l’occasion de travailler sur les syndromes post-traumatiques – guerre et accidents – avec des psychiatres et psychologues militaires.
Copyright pour l’image

Dans les années 70, j’avais travaillé sur mes propres syndromes post traumatiques – SPT.
Un psychiatre renommé m’appelle pour que j’accompagne une jeune femme ayant un SPT grave.

On a donc une seconde fois le phénomène du guérisseur blessé.
Mais cette fois-ci ce sont des médecins et des psychologues qui décident que je suis LE bon guérisseur pour tel patient spécifique.

C’est une caractéristique du guérisseur blessé.
Il y a une sorte d’accroche particulière avec le patient … avant !

Une conversion

Nous avons vu plus haut que sauver sa peau, sortir du handicap ou échapper à un syndrome post-traumatique est une question de savoir-être.

En particulier pour oser mettre en oeuvre une thérapie de Seconde médecine, pour persister dans cette thérapie, il faut entrer dans le paradigme de la Seconde médecine.

« Je suis un être unique dans un environnement unique avec une communication unique ! »
« J’ai un corps-esprit comme tous les humains, la Nature a tout prévu pour ce corps-esprit ! »
« Je me débrouille avec ces deux affirmations parfaitement polaires, dialectiques, dichotomiques ! »

Pour se débrouiller, pour bricoler au mieux sa propre thérapie, pour devenir créatif pour sa santé il faut un nouveau savoir-être, une conversion.
Et une conversion … ça se voit !

Enseigner à l’hôpital

A la fin des années 80, j’ai trois caractéristiques :
– je suis un guérisseur blessé, autrement dit un thérapeute très créatif – puisque je n’ai pas de cadre institutionnel ni corporatif contraignant
– j’enseigne ou je fais de la recherche en anglais depuis une dizaine d’années
– je travaille sur les « dernières nouveautés » de la connaissance du comportement humain

C’est ainsi que je deviens :
– formateur dans les hôpitaux généraux sur des thèmes comme le burn-out ou la violence
– formateur dans les hôpitaux psychiatrique sur des thèmes cliniques innovants
– accompagnateur – par exemple des médecins traumatisés par le scandale du sang contaminé

Le tricotage corps-esprit

Je suis donc passé par les trois phases : patient, thérapeute, enseignant.
J’ai travaillé avec une très grande liberté créative.
En 1986, je crée ce qui est aujourd’hui Une Fabrique de Communs.
Il s’agit de publier en mode « libre de droit » des textes sur la Seconde médecine dans ses aspects somatique et émotionnel.
Là encore la liberté de créer est totale.
Même si je connais quelques contraintes pour soutenir une thèse en 2005.

Imaginer une Seconde médecine pour les nouveaux défis de la santé

Un logo pour la Seconde médecine est créé.

Des « kits de survie » sont constitués pour les attaques :
– bactérienne
– virale
– par cellules malignes – document
de 90 pages

Quels gourous pour une Seconde médecine ?

La Première médecine a ses héros.

Ici sur la fresque de Lyon Lacassagne.

On y voit en particulier : Claude Bernard, Auguste Lumière, Victor Grignard, Rabelais, Léon Bérard, Louis Paufique, René Leriche, Raphael et Jacques-Gaspard Lépine.

Les inventeurs et découvreurs de la Seconde médecine n’ont pas encore droit à une grande fresque.
Ils sont souvent des solitaires – pas par choix – ce qui rend leur tâche plus difficile.
Nombre d’entre eux sont des guérisseurs blessés.
Leurs travaux font l’objet d’autant de critiques injustifiées que de critiques justifiées. (1)
Cela nécessite un gros travail pour ne garder que les pépites de chacun :
Dr. Otto Warburg, Utii Vaarala, Max Gerson, Jean Seignalet, Richard Béliveau, Johanna Budwig, Andreas Moritz, Hulda Clark, Rudolf Breuss, Herbert Shelton, Johanna Brandt, Catherine Kousmine, Edmond Bordeaux Szekely, Dr. Yoshihide Hagiwara – spiruline, green magma avec Ann Wigmore,

Chercheurs à la frontière de la Seconde médecine :

Richard Béliveau, Burton Berkson, Pr Luc Montagnier – papaye fermentée, Johannes Kuhl, Schoonen W.M., 2004 Resveratrol, Gerry Potter – alimentation bio, David Servan Schreiber, Dominique Belpomme – électrosensibilité, H.A. Arafat Nigelle,

Auteurs divers – vitamine B17

Pour ne pas conclure

80 % de la population mondiale se soigne par les plantes dit le compte de l’OMS.

Descartes a dit de la manière la plus ferme que l’Occident aura besoin de la Seconde médecine.

Le message s’est perdu vers le 11 septembre … 1941 – suppression des formations à l’usage des plantes !!!

Aujourd’hui l’OMS et quelques sages affirment que l’humanité doit renforcer sa Seconde médecine – modélisation des pratiques, formation.

Notes

(1) Un inventeur de thérapie a un désir intense de soigner les gens.
Il peut se laisser déborder par ce désir et généraliser à l’excès.
D’où la nécessité de vérifier – pour chaque proposition thérapeutique – s’il y a eu confirmation ultérieure.
Parfois on trouve une publication académique qui confirme l’efficacité – base de donnée PubMed, etc.
C’est ainsi qu’a été réalisée notre Bibliographie pour une Seconde médecine.
Parfois ce sont des témoignages de patients et/ou de thérapeutes.

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