On peut voir le résumé : sept articles pour une campagne
2012 : 200 mille patients infectés, 12 mille décès
Chiffres simplifiés de l’étude Burden publiées par Santé Publique France.
Combien d’amputations, d’invalidations, de décès auraient-ils pu être évités par la Seconde Médecine ?
Printemps 1974
Brasserie des étudiants, Strasbourg, trois internes en médecine.
« C’est dramatique, on ne compte plus les décès de patients par bactéries qui se moquent des antibiotiques !«
Pourtant dans le Vidal des médicaments et autres dispositifs thérapeutiques il y a la phagothérapie qui tue les dites bactéries.
En 1974 il est urgent de booster l’usage de la phagothérapie.
C’est l’inverse qui se passe !!!
La disparition progressive de la disponibilité de phages est dramatique.
Le Docteur Olivier Patey parle de scandale sanitaire du siècle.
Un aveuglement français
Les chercheurs et médias anglo-saxons sont formels :
Superbugs on Track To Kill More People than COVID-19 : Monash University Infectious Diseases Experts
Les superbugs sont sur la bonne voie pour tuer plus de personnes que le COVID-19 : les regard des experts en maladies infectieuses de l’Université Monash
Voir les résultats de la requête Google.
Il est remarquable de voir qu’en français il n’y a :
– pas de mot-choc comme Superbug
– pas de sigle pratique come AMR Anti Microbial Resistance
Ce qui est cohérent avec le déni français.
Un scandale exemplaire
Quantitativement, il y a donc, à terme, beaucoup plus de décès par les bactéries que par les pandémies virales – covid, etc.

Dix fois plus de morts que sur la route !!!
En 2050, les décès par bactéries et autres organismes résistants aux molécules thérapeutiques seront de 10 millions par an – monde.
On a scandale parce que :
- le phénomène est ancien et progressif
- les thérapies existent, sont efficaces et sans effets secondaires
- le Ministère dit de la santé ne cesse de mentir – voir rapport OPECST
Une réflexion sur “Une longue alerte pour un scandale”